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22 décembre 2012 6 22 /12 /décembre /2012 20:15

Aujourd'hui tu aurais eu 50 ans...  à cette heure nous ferions la fête, des photos, une rétropective de ces années passées... comme dis Gaëtan c'est vieux 50 ans.  Tu ne seras jamais vieux ! 

Pas un jour sans penser à toi, à papa, à maman, mais vous me donnez tellement de force.  Vous m'avez donné tellement d'amour qu'aujourd'hui je peux à mon tour en donner.  Vous avez fait de moi ce roseau qui plie mais ne rompt point...

 

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20 décembre 2009 7 20 /12 /décembre /2009 11:32

La mort n'est rien ;

je suis seulement passé

dans la pièce d'à côté.

Donne-moi le nom

que tu m'as toujours donné.

Parle-moi comme tu l'as toujours fait.

Continue de rire

de ce qui nous faisait rire ensemble.

Prie, souris, pense à moi.

Pourquoi serais-je hors de ta pensée

simplement

parce que je suis hors de ta vue ?

Je t'attends, je ne suis pas loin.

Juste de l'autre côté ...

Tu vois, tout va bien.

                                           Henry Scott

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6 décembre 2008 6 06 /12 /décembre /2008 20:24
Que dire de plus, tu me manque et je dois accepter que tu sois remplacé auprès de celle que tu aimais (je crois)...
Ton meilleur ami a pris ta place... il paraît que je dois accepter, la vie continue...  ...
C'est peut-être vrais, mais je me dis comment te remplacer "toi", tu avais une telle présence, tu prenais tellement de place tout en étant tellement discret.  Et puis plus rien.  J'ai en moi les souvenirs et cet amour si fort  que nous avions l'un pour l'autre.  Tu es là présent chaque jour,  personne ne peut comprendre mais c'est la réalité...
Je vis à travers ces souvenirs, mes souvenirs, mais en voyant l'avenir avec tout le bonheur que je vis au présent avec Hugues et les enfants...
Oui, malgré tout cela je suis debout et je tiens !  C'est grâce à vous, maman, papa, Jean-Luc et Thierry...

L'amour est plus fort que la mort.

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2 octobre 2008 4 02 /10 /octobre /2008 20:26

02 octobre 2008

Un an que je vis sans toi, que je n'entends plus ton rire, que je ne vois plus ton sourire, que je ne t'entends plus dire "MA soeur" et pourtant à chaque instant je sais que tu es là, que vous êtes là tous les 4.
De là haut vous me donnez du courage pour avancer, pour me dire que je n'ai pas le droit de me plaindre, je suis ici et je vis...
Je suis née aujourd'hui et je remercie tous ceux et celles qui ont pensé à moi, à mon anniversaire, et oui je ne pourrai pas changer les dates !  Et je peux me poser la question pendant des années, je n'aurai pas de réponse.  Nous étions liés et nous le resterons encore plus.

Depuis plusieurs mois j'écris notre histoire,  elle prend du temps nous avons partagé 38 ans...
Elle ne sera jamais finie, elle ira bien au-delà de ce que nous avons vécu ici-bas.

TA petite soeur

 

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23 janvier 2008 3 23 /01 /janvier /2008 13:35
Merci à toi Tina, je n'avais plus trop envie d'alimenter le blog, j'avais besoin de faire une pause.  J'ai beaucoup écrit ces derniers temps et j'arriverai peut-être à partager tout cela avec les visiteurs du site...

Ci-dessous vous trouverez la lettre que Tina m'a envoyée, par ses mots elle témoigne de l'amitié sincère que Thierry pouvait donner ...

 Thierry,

 

Tu as rejoint l’autre rive sans que je puisse te dire au revoir.

Toi qui me connais bien, tu sais à quel point j’ai des difficultés à parler de mes sentiments, de mes chagrins, douleurs, colères et pour ne pas changer, ce n’est qu’en écrivant que je m’apaise un peu, que j’expie ce trop plein de ce qui fait mal, de rage et de rancoeur.

Je n’ai jamais eu ton savoir-communiquer !

Je suis si triste.  Tu étais bien trop jeune pour vivre cette autre vie.  

Tu avais encore tant de choses à accomplir ici, tant de projets à réaliser.

Je suis en colère car admettons que ça devait se passer maintenant, ce n’est pas juste la manière dont on t’a fait passer la frontière.  Pas à cette date, pas là, pas sans tes proches à tes côtés.  Ce n’était pas le bon scénario.

Et puis, je pense fort à Fabienne, à Pascale, à tous ceux dont tu faisais partie du quotidien et à ce trop d’espace que tu laisses et qui est terriblement étouffant.

 

Des souvenirs de toi sur cette terre, des anecdotes, mon Dieu, ça en fait de la matière pour écrire un livre !

Si je rembobine le film de ma vie, je m’arrête sur la fin de l’année 1992.  L’année de la naissance de notre amitié.  Tu étais un peu timide mais tellement attentionné, tellement gentil et tellement drôle.  Tu m’as invitée à aller boire un verre et j’ai accepté car je sentais que je ne perdrais pas mon temps avec un gars aussi passionnant que toi.  Je ne suis pas sûre du rôle que nous voulions, au départ,  tenir dans cette histoire mais au final, ce que nous avons été l’un pour l’autre était vrai, sincère.  Tu n’étais pas mon âme sœur, je n’étais pas ta promise mais nous avons vécu de belles années comme des amis d’enfance.  Tu étais de ma famille.   

 

Lorsque je me suis décidée à aller voir ma grande sœur en Australie, je ne pouvais proposer à personne d’autre que toi d’être mon compagnon de route.

Je suis super contente de t’avoir permis de réaliser un rêve.

Rien que sur le chapitre «Australie», il y en aurait des choses et des fous rires à raconter !  Merci pour toutes ces pépites de bonheur.

 

 

Comme tout le monde, je n’ai pas toujours pris les bons chemins, pas toujours rencontré les bonnes personnes et je continue encore à faire des gaffes mais j’ai tiré le gros lot de l’amitié avec toi tant tu étais un être exceptionnel.

Tu n’étais pas parfait, des défauts, tu en avais aussi des petits, certes mais des défauts quand même.  Ben oui, ça se saurait si tu étais un sain.

Ce que je veux dire, c’est que tu étais un être humain terriblement humain, un des plus humains qu’il m’ait été donné de connaître.  Un personnage si fort et si sensible à la fois, qui parfois pouvait perdre le contrôle.  Nous n’étions pas toujours d’accord sur tout, heureusement d’ailleurs et on s’est quelques fois déçu.

Je me souviens de quelques prises de bec entre nous, de tes coups de gueule, de tes colères.  A l’entrepôt, il y a une poubelle qui tremble encore rien qu’à entendre prononcer le prénom Thierry !!!   Tu l’as vachement défoncée celle-là !!!

Je me rappelle également le jour où tu as dit à mon harceleur ta façon de penser.  Jamais je n’avais entendu autant de gros mots à la minute que cette fois-là !

Hé oui, à Thierry, fallait quand même lui chercher des poux.

Par-dessus tout, tu avais l’art de convaincre, d’argumenter, de présenter les choses de la manière la plus optimiste qu’il soit, de rassurer et grâce à toi par exemple, mes parents ont été un peu apaisés le jour où je leur ai annoncé que je m’installais seule en appartement.

                                            

Le 28 septembre 2007, date du 6ème anniversaire du décès de maman, je t’ai croisé à la photocopieuse.  On s’est taquiné, on a rigolé comme d’habitude sauf que ça n’a duré que 5 misérables minutes.  Si j’avais su que c’était la dernière fois que je te voyais …

Tous les jours, je suis en manque de maman mais le 28 septembre, c’est pire, c’est une foutue date pour moi.

Le mardi suivant, Fabien m’a téléphoné en pleurs et m’a annoncé la nouvelle.

Je n’ai pas réalisé.

Le jeudi, j’ai rêvé de toi.  Je sortais du bureau, tu m’attendais dans ma voiture garée sur le parking et je n’étais pas surprise car j’étais sûre que ce qu’on m’avait raconté était faux.

Tu étais au volant, je me suis assise à côté de toi et tu m’as dit : «Je vais tout t’expliquer» mais je me suis réveillée.

 

Certains penseront que je suis très naïve mais je sais que tu es parti là où se retrouvent les grandes et belles âmes.

Tu as bien été accueilli, n’est-ce pas ? J’imagine les retrouvailles avec ta maman, ton papa, Jean-Luc.  Evidemment, tu es allé en repérage, voir où se trouvent les endroits sympas, où on peut s’amuser, faire de la musique, la fête, refaire le monde où sont restés les autres.  Tu as croisé des tas de gens connus et méconnus et tu as salué tout le monde.

Tu as vu maman qui, égale à elle-même, t’a invité à manger un plat de pâtes.    Le bébé à ses côtés ?  C’est Cécilia, mon enfant d’amour.  Bien sûr qu’elle est magnifique !  Embrasse-les pour moi et dis-leur combien je les aime.

Ensuite, tu es allé à la fête organisée en ton honneur, tu as joué du piano, tu as pris le micro et fait rire tout le monde et puis, tu es allé te coucher sachant que le travail commencerait dès le lendemain.  Ton job : veiller sur Fabienne, Guillaume, Gaëtan, Hugues, Pascale, Robin, Elisa, Nico, Henri et les autres.  Sois leur ange.

 

L’autre jour, je me suis enfin décidée à sortir les albums et à les parcourir péniblement pour commencer.  Les larmes coulaient mais au fur et à mesure que des souvenirs me revenaient, je n’ai pu m’empêcher de sourire, de rire.

On a vécu des tas d’aventures ensemble, des belles comme des mauvaises.            

Le beau réveillon de Noël chez Nico, nos voyages en Australie et à Corfu, nos excursions en Hollande, en Allemagne, notre journée mémorable à la foire de Charleroi et mon fou rire dans la centrifugeuse, ta chute spectaculaire devant la maison de mes parents.  Je sais que tu as eu mal et je ne me moquais pas.  C’était juste nerveux, comme on dit !!!

Le décès de ton papa, ton hospitalisation à Châtelet (où on a quand même bien ri car il n’y avait pas de lit à ta taille), mon opération (tu es resté avec maman jusqu’à ce que je sorte du bloc) le mal et les ragots qu’on a pu dire sur nous, nos prises de tête, nos secrets …

 

Les réunions de famille, ta musique, tes imitations, que du bonheur, que de merveilleux moments tu nous as permis de vivre.

Aussi, tu m’as enseigné de belles choses, tu étais un exemple. Ton amour des autres et ton sens de la communication m’épataient et puis, tu me répétais sans cesse d’avoir confiance en moi, d’être moi-même.

Lorsque des personnes faisaient des réflexions sur ta taille, j’étais toujours prête à les agresser,  verbalement.  Tu me retenais et c’est toujours avec toute ton élégance, toute ta splendeur et l’air de rien que tu les faisais passer pour des gros cons.  Tu avais du caractère davantage forgé par ton parcours.

 

Sur bien des plans, nous étions si différents toi et moi.  Pourtant, on riait des mêmes bêtises et nous avions une même conception du bonheur, une même vision du monde.

Nous rêvions tous les deux de trouver enfin l’amour de notre vie et de fonder une famille.

Tu as connu Pascale et moi Fabien.  Tu as adopté une famille, j’ai construit la mienne.

Nos rencontres se sont, par la force des choses, par le train-train quotidien, espacées mais nous savions, cependant, que nous étions heureux l’un pour l’autre.

Le jour où tu m’as annoncé que tu avais rencontré Pascale, tu étais incroyablement beau de bonheur et jamais je n’oublierai ce qu’il y avait dans tes yeux.

On devait se faire un barbecue ensemble.  On n’a jamais fixé de date.

A quoi bon regretter maintenant, c’est comme ça.

Rappelle-toi quand ton papa est parti, Vicky t’a dit qu’il y avait une étoile supplémentaire qui brillait dans le ciel.

J’ai repéré la tienne !  Le soir, si tu écoutes bien, tu m’entendras. 

 

C’est triste de ne plus te croiser dans les couloirs chez Match, de ne plus pouvoir aller te piquer un bonbon rouge.  Tu m’en avais offert 1 kg !!!  A propos de cadeau, j’ai toujours le bracelet que tu avais acheté à Sidney.  Je n’ai jamais trop osé le porter de peur de le perdre.  Je suis contente de l’avoir encore.

Tu as toujours su me soutenir dans les moments difficiles de ma vie.  Désormais, en serrant très fort ce bracelet, je puiserai ton réconfort.

 

Merci pour tout ce que tu m’as apporté Thierry.  Sois heureux là où tu es. 

Ici, évidemment, on va continuer, on va essayer de vivre pleinement chaque jour de cette vie, on va puiser là où on peut,  la force de faire face aux coups durs et à les surmonter.

Tu sais, mon frère va devoir livrer un difficile combat contre une putain de maladie.  Un choc, tu imagines.  Chaque fois que je perds un être cher ou que l’un d’eux souffre, est malheureux ou pas bien dans sa vie, ça fait mal partout dans l’âme, partout dans le corps.  C’est comme si on m’arrachait une partie de moi et je me sens tellement impuissante, toute petite. 

De plus, ne plus pouvoir communiquer avec ceux de là-bas, ne plus les voir,  c’est oppressant.

Alors, on respire les bulles d’oxygène de leur souvenir et on s’accroche à ce que la vie daigne nous offrir de beau, de merveilleux.  On s’accroche à ce bonheur pur, plus fort que tout que sont nos enfants, on s’accroche à un sourire, à un rayon de soleil et on se ressource comme ça pour aller toujours de l’avant et trouver l’apaisement.

Au revoir Thierry et mille baisers à toi.

 

Tina

 

                                             

 

           

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11 décembre 2007 2 11 /12 /décembre /2007 20:02
Je pensais que le blog allait m'apporter plus de témoignages...allait me donner plus de courage pour avancer...
Aujourd'hui je me rends compte que j'ai besoin d'écrire, mais pour moi.  D'écrire mon histoire vécue avec mes parents et Thierry, mais ça je choisi pour l'instant de le faire seule...
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19 novembre 2007 1 19 /11 /novembre /2007 19:12
BC-Gossselies.JPGPapa--maman--Jean-Luc-et-Thierry-au-mariage-de-mes-parrain-et-marraine.JPGOncle-maurice--Jean-Luc--thierry--maman-et-bobonne.JPGJean-Luc.JPG
Une partie de la vie de Thierry que je n'ai pas partagée...
Nous étions 5, mais nous n'avons jamais été ensemble...
Dans les derniers mots que j'adresse à Thierry, je lui dis qu'il y a des destins plus tragiques que d'autres...
Perdre son frère, je sais ce que cela signifie aujourd'hui.  Mais pour lui, perdre son grand frère à l'âge de 7 ans.  A-t-il fait son deuil, je ne crois pas, nous n'en avons jamais parlé, je le regrette aujourd'hui.  Qui était-il ?  Etait-il un chouette un grand frère comme Thierry l'a été pour moi, je l'imagine...
On m'a tellement dit qu'il était gentil et plein d'affection envers mon père.
Je ne l'ai pas connu, il ne m'a pas tenu dans ses bras et pourtant il m'a laissé quelque chose, mon prénom, c'est lui qui l'a choisi avant de partir.
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11 novembre 2007 7 11 /11 /novembre /2007 20:52
J'ai reçu des photos de Stéphanie, sa collègue chez Match.  Elles sont chouettes et je ne savais pas que Thierry faisait des montages photos !
Même encore aujourd'hui il me fait rire...  mais il me manque et donc les larmes coulent en même temps...
C'était lui ça, plein d'humour, toujours à nous faire rire...  et là haut tu les fais rire aussi ?  Tu racontes des blagues avec papa ?  oui j'en suis certaine...
Si des lecteurs du blog se souviennent de bonnes blagues ou des anecdotes, ou des photos de moments partagés avec lui n'hésitez pas.  Vous pouvez aussi me les envoyer par e-mail sur fanufafa@hotmail.com
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25 octobre 2007 4 25 /10 /octobre /2007 20:28
Ton départ est très difficile à admettre et à comprendre...  Y-a-t-il quelque chose à comprendre ?
Je faisais partie d'une famille, nous étions 5 et nous n'avons jamais vécu tous ensemble.  Aujourd'hui je me retrouve seule.  Ma psy m'a dit être marquée par ma faculté de tirer le positif des évènements de la vie afin de pouvoir à nouveau avancer... ais-je le choix ?
Chacun a son destin, aujourd'hui j'ai envie de dire, ou plutôt de gueuler au "Bon dieu" ça suffit, j'ai ma part !
Oui je suis en colère, mais contre qui ?  contre quoi ?
Ma reconstruction elle va passer par ce blog, par ma faculté à trouver les mots qui vont me permettre de laisser une histoire, mon histoire... elle va passer par d'autres textes que j'écrirai et qui permettront de ne pas oublier ...
Je ne pourrai pas écrire l'histoire de Jean-Luc, de papa, de maman ou de Thierry, mais je pourrai écrire mon histoire, celle que j'ai partagée avec eux.
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13 octobre 2007 6 13 /10 /octobre /2007 17:33

D'après mes souvenirs... mais peut-être que certains auront des ajouts ou des modifications à apporter...
Le début de la construction du chalet date de 1968, peu avant ma naissance.
Mes parents ont acheté un terrain à Inzemont.  L'histoire veut que c'était pour une "bouchée de pain" à l'époque.  Mon père a d'ailleurs souvent regretté de ne pas avoir acheté un plus grand morceau.  Celui-là faisait déjà 11 ares.  L'objectif au début était de s'y rendre en week-end et de faire du camping.
Peu de temps après, des constructions devaient être démolies dans des anciens charbonnages ou carrières je ne sais pas très bien.  Mon père a alors acheté des camions remplis de planches en bois et de chassis.
L'aventure pouvait commencer.  Maman, Papa, Didier (mon parrain), Annick (ma marraine) Oncle Jean (père de mon parrain), tante Denise (soeur de maman) tout le monde a mis de son talent pour arriver à ce châlet en bois.  On ne peut pas parler de petite maison dans la prairie, il comptait tout de même un beau salon/living, une petite cuisine qui servait de salle de bain et 3 chambres.  Sans compter une petite cave qui servait de débarras et par la suite de garage pour le "hors-bord" de papa.  Je devrais pouvoir retrouver des photos...
Pendant toute notre enfance ce châlet était notre lieu de vacances, de week-end, bref le lieu de repos pour toute la famille.
A l'adolescence nous n'y allions plus avec autant de plaisir, Hastière manquait un peu d'animation...
Pourtant Thierry y a fait quelques guindailles mémorables, qui restent gravées dans la mémoire de tous je pense !!!  Nico, Henry et bien d'autres...

Lorsque papa est décédé en 1994, nous avons voulu garder le chalet Thierry et moi.  Mais l'entretien des 11 ares de terrain...  Le chalet se faisait vieux, et des travaux devaient être envisagés.  Nous avons mis une nouvelle toiture, mais après cela devenait difficile.  J'habite Nismes et on ne peut pas dire que des vacances à Hastière soient très dépaysantes.  Le quartier avait beaucoup changé.  L'an dernier je suis retourné le voir, il était toujours sur pied, mais en piteux état hélas...

Si certains ont des anecdotes, des photos de leur passage là-bas ce serait chouette de me les envoyer.

Dans la rubrique images, vous trouverez de nombreuses photos sur l'aventure de sa construction.

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